Le projet SIRIUS propose une approche globale de la gestion de l’utilisation de l’eau et des intrants en maraichage sous abris en étudiant les techniques de réduction du travail du sol dans le but d’améliorer la qualité du sol.
La protection contre Drosophila suzukii montre de bons résultats grâce à une combinaison de moyens de protection : filets, prophylaxie, gestion des déchets… Les dégâts sont retardés et l’arrêt des récoltes est moins précoce. Mais la protection est toujours partielle et il est nécessaire de poursuivre la recherche de solutions...
Le réseau Aleurodes a été créé en 2016 pour donner suite à des campagnes de forte infestation de ce ravageur dans les cultures maraîchères sous abri en Provence. Il permet de réunir chaque année conseillers, producteurs et expérimentateurs autour de cette problématique pour faire émerger des solutions.
En maraichage, la technique des couverts vivants (« living mulch ») consiste à conduire une culture sur un rang également occupé par un couvert végétal.
L’introduction de couverts végétaux au sein des systèmes de production fait partie des pratiques de transition vers une agriculture durable et résiliente. Dans les exploitations en maraîchage sous abri, les parcelles sont souvent libres au cœur de l’été pendant une durée variant de 2 à 5 mois selon l’intensité des systèmes.
Les cultures de diversification permettent d’introduire des rotations dans les systèmes de cultures maraîchers et ainsi de limiter les risques de développement des maladies telluriques qui sont favorisées par le retour trop rapide des mêmes cultures. Ces rotations sont des outils alternatifs pour la préservation de l’état...
Document de référence de la viticulture méridionale, édité par l’AREDVI dans le cadre de sa mission de diffusion des références techniques et de l’innovation en viticulture. Le rythme de parution du guide est bisannuel avec une édition complète tous les deux ans et, en année intercalaire, une édition de complément.
En maraîchage de plein champ, les possibilités de lutte biologique classique, par lâchers d’auxiliaires, sont inexistantes et l’usage des produits phytosanitaires est de plus en plus limité.
