N’ayant aujourd’hui à leur disposition que le cuivre comme protecteur efficace contre le mildiou, les viticulteurs engagés en agriculture biologique peuvent-ils songer à réduire les doses au niveau préconisé par l’Anses, sans mettre en péril leur production ?
Date de publication
octobre 2020
Nombre de pages
2 pages
Format
Poids
287 Ko Mo